Flycka, tu portes le nom de l’héroïne équine d’un livre qui a marqué ma jeunesse.
Et tu as été de bout en bout « mon amie Flycka ». De la petite pouliche de 6 mois inapprochable à moins de 50m avec laquelle il aura fallu des trésors de patience. La patience d’une gamine de 10 ans qui passait des jours entiers juste assise dans ton pré à attendre que tu veuilles bien approcher. Et finalement comprendre que les humains ça peut être chouette. Tu as fini par m’accorder ta confiance, un cadeau tellement précieux, inestimable. Ensemble on a tout fait, tout traversé. Se balader en totale liberté sans même un licol, sauter des montagnes, juste profiter d’un brossage complet et de mots tendres chuchotés à tes oreilles. Aujourd’hui le jour se lève à nouveau et tu n’es plus, au bout de 27 ans d’une vie de partage et d’amour. Tu es le poney dont tout le monde aurait rêvé, le poney d’une vie, de ma vie. Au revoir ma Flyck Flyck,je t’aime au delà de ce qui est imaginable… ✨
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Sources : Dr Vincent DEDET et Pr Sylvie CHASTANT (Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse)
Le chien et le chat ont chacun leur coronavirus, pathogène digestif pour l'un et agent de la PIF pour l'autre. Il sont génétiquement très différents du coronavirus COVID-19 qui se propage dans les populations humaines. Beaucoup posent la question du rôle des chiens et chats dans la transmission du Covid-19 ? Le doute est venu d'un spitz nain appartenant à un malade du Covid-19 placé en confinement dans son appartement avec son chien à Hong Kong. De faibles quantités de virus ont été détectées dans les cavités nasales de ce chien. L'Organisation Mondiale de la Santé considère pour l'instant qu'il s'agit d'un cas de transmission DE L'HOMME AU CHIEN. Des tests sérologiques sont en cours pour évaluer la présence d'anticorps anti Covid-19. En 2003, lors de l'épidémie de SRAS, 8 chats et 1 chien avaient été testés positifs mais sans aucune transmission ni à un autre animal ni à un humain. De plus, l'analyse épidémiologique des nombreux cas de contamination humaine en Chine ne suggère pas que les chiens (et chats) jouent un rôle significatif dans la circulation de ce virus. Bonne occasion néanmoins de rappeler, Covid-19 ou pas, des règles de base de biosécurité telles que se laver les mains après avoir manipulé un(des) chien(s) et de ne pas se laisser lécher par les animaux ! Avoir un chien, ce n’est pas posséder. Avoir un chien, c’est être. Ce n’est pas être « propriétaire ». C’est être « responsable ». Ce n’est pas être « maître ». C’est être « partenaire ». Le vrai « maître », c’est le chien. Pas parce qu’il nous domine, mais parce qu’il nous enseigne. Avoir un chien, c’est exister. C’est exister pour un être qui n’a d’yeux que pour vous. Qui ne vit que pour vous. Ce n’est pas céder à un « il est trop mignon », à un caprice ou à une pulsion. Même s’il en faut un peu, du caprice. Il faut être capricieux envers soi-même pour avoir le courage de sauter le pas, de se dire un jour « je ne serai plus un. » Deux, on peut l’être pendant plus de 15 ans. Il faut une part de courage pour décider d’avoir deux ombres pendant si longtemps. Mais avoir un chien, ce n’est pas « je prends ce qui m’arrange ». Ce n’est pas prendre le mignon, la douceur et l’affection, et faire abstraction du reste. Ce n’est pas demander à un animal d’être une peluche ou un robot. C’est accepter l’imperfection. C’est se faire à l’idée que tous les chiens ne sont pas exactement comme on les avait rêvés. C’est s’adapter à lui autant que lui fait d’efforts pour s’adapter à nous. C’est apprendre à le comprendre et même à l’anticiper. C’est lâcher son écran pour lancer une balle. C’est enlever ses chaussons et mettre ses chaussures. C’est quitter sa couette pour sortir dans le froid et sous la pluie. C’est ramasser des crottes, éponger des vomis ou d’éventuels pipis. C’est aller chez le vétérinaire de nuit, un jour férié. C’est faire face aux contrariétés, de la bêtise la plus anecdotique à la douleur la plus insurmontable. C’est dépasser les incompréhensions en se donnant les moyens de bâtir une relation forte, saine et harmonieuse. Et digne, jusqu’au bout. Avoir un chien, c’est avoir ce que les autres appellent des « contraintes ». Mais avoir un chien, c’est être convaincu que ce que les autres appellent des « contraintes »... n’en sont pas. Parce que tout ce qui peut être considéré comme une contrainte est précisément ce dont le chien a besoin. Par amour, il faut répondre à ces besoins. Et aucune preuve d’amour sur Terre n’est une contrainte. Texte magnifiquement écrit par Karine Bull Selon un récent sondage de l’association American Pet Products, il semble que 17 % des entreprises américaines autorisent la présence d’animaux au travail tous les jours. La tendance « Dog Friendly » s’est peu à peu étendue… jusqu’à traverser l’Atlantique ! C’est le cas en France, où les caméras de 30 Millions d’Amis ont suivi le quotidien de plusieurs compagnons à quatre pattes qui peuvent suivre leurs maîtres dans les bureaux : exemples chez un géant de l’industrie alimentaire, mais également dans un cabinet d’avocat parisien ou dans une agence de mannequin. Extrait de l'émission 30 Millions d'Amis diffusée sur France 3 (13/05/2015). Chez nos voisins Suisses, la société Purina a tout aménagé pour accueillir les animaux : moquette lavable résistante et douce pour les pattes, mais surtout une « dog room » où on ne compte plus les gamelles, coussins, joujoux et friandises. Au Japon, l’entreprise Ferray Corporation qui propose des solutions Internet, va même jusqu’à récompenser les employés qui apportent leur félin au bureau en leur versant une prime équivalente à 35 euros par mois. Un animal au bureau, c’est « bienfait » ! Emmener son chien ou son chat au bureau, c’est le rêve de tous les amis des animaux ! Mais outre le plaisir que cela procure au maître, y a-t-il vraiment des bienfaits prouvés ? Plusieurs chercheurs se sont penchés sur la question et – si vous en doutiez – la réponse est OUI ! Une étude de l’université américaine de la Virginia Commonwealth démontre que la présence d’un, ou de plusieurs animaux sur le lieu de travail permet de faire décliner, très significativement, le niveau de stress dans un bureau au fil de la journée. Il semble aussi que la présence du chien favorise l’interaction entre les collaborateurs et augmente ainsi leur productivité et leur créativité ! En France, pour avoir le droit d’amener son animal au travail, il faut obtenir l’autorisation de son employeur. Une présence rendue plus compliquée dans certains secteurs d’activité professionnelle comme l’alimentaire, l’hôtellerie ou encore le sanitaire. Dans tous les cas, c’est le maître qui sera responsable civilement des dégâts que pourrait occasionner l’animal. Notre petite Olympe, Berger Australienne, fille de Loween & Dylan a la chance d'avoir un maître qui travaille dans une entreprise Dog Friendly et qui de fait l'accompagne au travail tous les jours !! Les chiens peuvent "sourire", c'est à dire qu'ils soulèvent leur babine supérieure en découvrant les dents, voir en ouvrant la gueule.
Souvent pris à tort pour de l'agressivité, le "sourire" est en fait un signal d'apaisement utilisé à l'encontre des autres chiens mais plus majoritairement avec les humains. Certains chiens l'utilisent aussi pour accueillir leur maîtres, des gens ou des chiens inconnus. C'est un trait extrêmement fascinant ! Ici, nous avons une Aussie, Loween, et un Jack, Jeito, qui sourient :) Bienvenue 2016 ! Ici plein de surprises attendues tout au long de l'année avec plusieurs portées prévues que ce soit en Berger Australien ou en Jack Russell !
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